Groupe de travail sur la préservation des terres agricoles
À la demande des JA et de la FDSEA, j’ai participé le mercredi 6 mars à un groupe de travail sur les questions foncières.
La consommation des terres agricoles est un véritable problème en France et particulièrement en Bretagne. Il ne faut pas oublier que les terres agricoles disparaissent au rythme de l’équivalent d’un département tous les 7 ans en France.
Suite à ce constat alarmant ce groupe de travail s’est penché sur les moyens actuels et possibles afin de ralentir cette consommation. Actuellement plusieurs outils sont à notre disposition. Il a été notamment question des nouveaux PLU favorisant la densification de l’habitat, et la gestion des dents creuses en centre-ville ou centre-bourg, ou bien, du code rural obligeant la mise en valeur des terres incultes, et enfin du rôle de la SAFER accompagnant la gestion foncière des terres agricoles.
Cependant force est de constater que les outils législatifs actuels sont, soit sous utilisés soit inadaptés. Le monde agricole est également confronté depuis quelques années à la rétention des terres agricoles, particulièrement en périphérie des zones urbaines et en bords de mer. Les propriétaires espérant un classement en zone urbanisée.
Il nous faut revoir les dispositions actuelles afin de préserver les terres agricoles. Je travaillerai donc en coopération avec le monde agricole sur différents aspects législatifs que je compte défendre à l’assemblée.
La consommation des terres agricoles est un véritable problème en France et particulièrement en Bretagne. Il ne faut pas oublier que les terres agricoles disparaissent au rythme de l’équivalent d’un département tous les 7 ans en France.
Suite à ce constat alarmant ce groupe de travail s’est penché sur les moyens actuels et possibles afin de ralentir cette consommation. Actuellement plusieurs outils sont à notre disposition. Il a été notamment question des nouveaux PLU favorisant la densification de l’habitat, et la gestion des dents creuses en centre-ville ou centre-bourg, ou bien, du code rural obligeant la mise en valeur des terres incultes, et enfin du rôle de la SAFER accompagnant la gestion foncière des terres agricoles.
Cependant force est de constater que les outils législatifs actuels sont, soit sous utilisés soit inadaptés. Le monde agricole est également confronté depuis quelques années à la rétention des terres agricoles, particulièrement en périphérie des zones urbaines et en bords de mer. Les propriétaires espérant un classement en zone urbanisée.
Il nous faut revoir les dispositions actuelles afin de préserver les terres agricoles. Je travaillerai donc en coopération avec le monde agricole sur différents aspects législatifs que je compte défendre à l’assemblée.